C’est arrivé très vite, personne n’aurait pu le prédire, le Coronavirus s’est invité sans prévenir, tel un tremblement de terre. Une onde de choc déferle sur la planète, la pandémie prends ses aises et on s’isole.

Avec les directives gouvernementales et de la santé publique, on s’encabane, on vit la quarantaine… et c’est bien correct ainsi. On doit faire tout ce qu’on peut pour ralentir la progression du virus. Écoles et garderies fermées, commerces fermés, travail à la maison… la vie sociale et l’économie vivent des bouleversements inattendus et sans précédents. Il y a tant à dire sur le confinement. Tant à dire et en même temps, c’est comme si on en avait déjà assez entendu… je n’ai pas envie d’en ajouter.

Dans les dommages collatéraux liés à la COVID-19… les pertes d’emplois. Les dirigeants d’entreprises doivent prendre des décisions déchirantes et douloureuses afin d’assurer la pérennité de leur entreprise et de sécuriser l’emploi du plus grand nombre possible. Ça passe parfois, malheureusement, par le licenciement de certains.

Ce soir, je lève mon verre à 34 des mes collègues, dont plusieurs sont devenus des amis au fil des années, qui ont été mis à pied au cours des derniers jours. Une solution temporaire nous l’espérons tous. Je pense à vous et je vous souhaite que cette situation soit la plus courte possible.

Cheers à vous qui souffrez, mais pas du virus!

Bière:
Épicentre V2 IPA

Brasseur:
Brasserie Champ Libre