La nuit s’étire
Sur la berge qui se pose
Et les astres se faufilent
Dans mes idées qui se déposent
Il n’y a plus de silences
Dans ma tête qui dansent
Sous un chapiteau immense
Qui brille en incandescence
J’ai des rêves qui voguent
Sur un tumulte d’ébène
Soumis à la dérive
De mon âme qui s’accroche
Des étoiles comme des secondes
Qui vibrent sans reflet
Dans l’attente d’un regard
Éphémères dans le tourbillon du temps
Mes cris se répandent
Dans la vastitude de la nuit
Et mes douleurs se défilent
En silence comme des perséides
Bière:
Countdown
Brasseur:
Beau’s